ELU PRODUIT DE L’ANNÉE DANS LA CATÉGORIE CONSOMMABLES
SpiderGraft s’inscrit dans une tendance forte : rendre la régénération osseuse péri-implantaire plus accessible, plus reproductible et mieux intégrée au geste implantaire. Le dispositif se présente comme un système adaptable au site opératoire, pensé pour accompagner la création d’un volume de régénération et faciliter la stabilité du montage, avec une mise en oeuvre annoncée plus simple au fauteuil.
Au-delà du concept, l’intérêt de SpiderGraft se joue dans les détails cliniques : indications privilégiées, bénéfices attendus selon les types de défauts, et place future du système dans l’arsenal de régénération — de la pratique quotidienne aux situations plus exigeantes.
Dans l’interview qui suit, le Dr Jérôme Surmenian partage son retour d’expérience : ce que SpiderGraft change réellement dans le protocole, les cas où il apporte le plus de valeur, et Philippe Veran, CEO de Biotech Dental la manière dont il pourrait redessiner la prise en charge péri-implantaire dans les prochaines années.
Quel problème clinique précis Spidergraft vous a paru le plus urgent à résoudre en régénération osseuse ?
Jérôme Surménian : le besoin le plus urgent était de fiabiliser – et enfin simplifier – la régénération osseuse péri-implantaire. Les praticiens savent que la difficulté majeure est de créer et de maintenir un espace de régénération stable, protégé de la pression des tissus mous.
C’est ce point précis qui décourage, encore aujourd’hui, de nombreux chirurgiens-dentistes : membranes armées, vis d’ostéosynthèse, pins, risques d’exposition… autant de sources d’aléas et de complications.
L’objectif était donc clair : proposer un dispositif facile à mettre en forme, simple à stabiliser, et capable de rendre la procédure à la fois moins invasive, plus rapide, et surtout plus prédictible pour les patients comme pour les praticiens.
C’est dans cet esprit que SpiderGraft a été conçu : un système conformable, sécable, qui s’adapte immédiatement à la morphologie du défaut, quelle que soit sa complexité.
Et surtout, une stabilisation verrouillée directement dans l’implant, qui élimine la difficulté technique et libère complètement le geste opératoire. Voir la vidéo
Dans quels types de défauts osseux utilisez-vous aujourd’hui Spidergraft en priorité ?
Jérôme Surménian : aujourd’hui, dès lors que la pose de l’implant est possible, SpiderGraft est devenu mon premier choix pour réaliser l’augmentation osseuse, quel que soit le type de défaut.
Et c’est précisément l’une de ses forces : sa capacité à s’adapter instantanément à la morphologie du site, sans nécessiter de découpe complexe ni de planification lourde.
Comment voyez-vous la place de Spidergraft dans l’offre globale de régénération de Biotech Dental dans les prochaines années ? Un “outil de niche” pour cas complexes ou un futur standard de prise en charge péri-implantaire ?
Philippe Véran : Kontact est devenu l’implant dentaire le plus posé en France en 2022 sans SPIDERGRAFT mais il est certain que nous aurions gagné quelques années si SPIDERGRAFT avait existé plus tôt. Spidergraft répond aux caractéristiques que peu d’innovations combinent : harmonie par son design unique, plaisir, facilité et
confort d’utilisation pour le praticien, performances élevées de succès pour le patient. Bref, Spidergraft va devenir le standard de la prise en charge péri-implantaire chez BIOTECH DENTAL, mais dans quelques mois aussi chez d’autres utilisateurs de marques d’implants…
