GSK Consumer Healthcare dévoile de nouveaux résultats d’une étude européenne sur les habitudes d’hygiène buccodentaire. tout comme leurs voisins allemands, britanniques ou espagnols, les Français perçoivent les soins apportés à leurs dents comme une pratique contribuant davantage au bien-être qu’à la santé. Ils sont peu sensibilisés au rôle préventif d’un bon suivi bucco-dentaire sur des pathologies sérieuses telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète ou encore les complications obstétriques ; rôle pourtant d’autant plus important que le suivi de ces pathologies a récemment pâti de la crise sanitaire.
MÉTHOLOLOGIE
L’étude GSK Consumer Healthcare – IPSOS sur la santé bucco-dentaire a été réalisée auprès de 4 500 personnes dans cinq pays européens (France, Allemagne, Grande-Bretagne, Espagne et russie) et quatre pays d’Asie du Sud-Est (Indonésie, Philippines, Singapour et thaïlande). Dans chaque pays, un panel représentatif de 500 personnes âgées de plus de 18 ans a été interrogé. L’enquête a été menée en ligne entre le 17 et le 26 février 2021.
IPSOS met en avant un consensus chez les Français : 84% d’entre eux déclarent reconnaître l’effet bénéfique d’une hygiène bucco-dentaire sur leur santé globale mais celle-ci est plus liée, à leurs yeux, au maintien d’une bonne hygiène de vie globale (83%) et à leur bien-être ou leur santé mentale (73%) qu’à de réels enjeux de santé.
Parmi les conséquences d’une hygiène bucco-dentaire dégradée, les Français identifient logiquement des affections au niveau de la bouche et des dents : 58% citent en premier lieu les fameuses caries, En deuxième et troisième position, les Français citent la plaque dentaire ou la formation de tartre
(45%) et la mauvaise haleine (40%), qui préoccupe notamment les 18-29 ans (46%).
Certaines pathologies bucco-dentaires, comme la gingivite ou la parodontite, restent en comparaison peu citées par les Français, malgré leur dangerosité pour la santé globale, surtout lorsqu’elles ne sont pas prises en charge correctement : un peu plus d’1 Français sur 5 (23%) pense à la gingivite; concernant la parodontite, une forme sévère de la gingivite qui porte atteinte à la structure d’appui de la dent, elle n’est citée que par 16% des Français, et seulement 10% des 30-39 ans.
L’étude GSK Consumer Healthcare – IPSOS s’est intéressée à trois pathologies graves, pouvant être liées à un suivi buccodentaire insuffisant :
1/ LES MALADIES CARDIOVASCULAIRES
1 Français sur 2 seulement (53%) fait le lien entre mauvaise hygiène bucco-dentaire et maladies cardiovasculaires, et seulement un peu moins de la moitié (48%) chez les 18-29 ans.
2/ LE DIABÈTE
Alors que plus de 5 millions de Français sont atteints de diabète, seulement 44% de la population déclare reconnaître qu’une bonne hygiène bucco-dentaire peut impacter positivement la régulation du taux de sucre dans le sang. Les catégories plus âgées sont les moins sensibilisées sur ce lien : seulement 40% des 50 ans et plus déclarent être au courant de la causalité entre diabète et hygiène bucco-dentaire, et près de la moitié d’entre eux (49%) n’a pas d’opinion sur le sujet. Chez les 18-29 ans se retrouvent deux extrêmes : 52% d’entre eux déclarent être bien conscients du rôle positif des bonnes habitudes buccodentaires pour le contrôle de la glycémie, mais il s’agit aussi de la tranche d’âge qui remet le plus en cause le lien de causalité avec le diabète (20%).
3/ LES COMPLICATIONS POUR LES FEMMES ENCEINTES
En France, seulement plus d’1 femme sur 3 (36%) affirme être informée sur les risques liés à une mauvaise hygiène buccale sur le bon déroulement de la grossesse, et ce chiffre est semblable pour les hommes.
En tant que spécialiste mondial des produits de santé grand public, GSK travaille en étroite collaboration avec les professionnels de santé, les pharmaciens, les dentistes et les autorités publiques pour donner aux consommateurs les clés et outils pédagogiques afin qu’ils puissent améliorer leur propre santé au quotidien.
