Initialement dédiée à un réseau restreint de praticiens, Monmedecin.fr fait le choix d’étendre ses prestations pour contribuer à la crise et alléger le coût de fonctionnement des professionnels de santé.
Monmedecin.fr bouscule le marché des agendas en ligne en proposant une solution qualitative, toutes options incluses, pour un forfait attractif de 15 € TTC par mois. Ce forfait exclusif donne accès à l’ensemble des prestations permettant d’optimiser la tâche du praticien de santé : prise de rendez-vous, qualification de ces derniers, téléconsultation, SMS de rappel, gestion des dossiers patients, espace personnel, transmission sécurisée d’ordonnances et de documents…
Autre atout pour le professionnel de santé, la possibilité de personnaliser gracieusement sa plateforme, de
bénéficier dans les mêmes conditions d’une assistance technique et d’une évolution du système ajustée à ses demandes. Pour répondre à de nombreuses demandes, Monmedecin.fr propose aussi en complément, pour les praticiens qui le souhaitent, un centre d’appel haute performance basé en France.
A une époque où l’éthique et la protection des données sont au cœur de l’actualité, Monmedecin.fr en a fait
depuis longtemps sa priorité. Aucune sous-traitance : tout est géré en interne, de la conception et mise en place des solutions par des consultants et ingénieurs intégrés à l’hébergement des données sur les serveurs de la société. Les clients sont contractuellement propriétaires de leurs données et les patients ont un accès sécurisé à la plateforme.
« Nous sommes un éditeur de systèmes d’information. Ce qui nous meut n’est pas tant une logique
commerciale qu’une véritable notion de service. Notre vocation est d’être à l’écoute des professionnels de santé et de leurs attentes. C’est pourquoi nos engagements portent non seulement sur le coût mais sur la qualité et la performance de service, à savoir qualifier les rendez-vous, remplir l’agenda, sécuriser les informations et anticiper le futur. Force de proposition, nous imaginons des solutions pour accompagner les professionnels de santé et les pouvoirs publics dans les évolutions à venir », précise Manuel Alborzi.
