Dans la première partie de cet article, (cf. LE FIL DENTAIRE, numéro 61 de mars 2011), l’étude clinique réalisée dans le but de comparer deux solutions anesthésiques en utilisant le bloc du nerf alvéolaire nous a fait douter des possibilités d’obtenir des résultats exploitables.
Avant de poursuivre cette étude, nous allons réexaminer en détail les éléments anatomiques ainsi que les autres facteurs participant à cette technique et énoncer les conclusions qui s’imposent.
D’autres facteurs spécifiques du bloc du nerf alvéolaire inférieur s’ajoutent au facteur distance
Malamed (2004) indique qu’un taux d’échec de 15 à 20 % est normal, voire inévitable pour les blocs du nerf alvéolaire inférieur. Hormis le facteur distance, quels peuvent être les éléments participants à ce taux d’échec « obligatoire » ?