Dans toute la panoplie de l’activité implantaire, vous ne pratiquez que la prothèse sur implants parce que :
On retiendra que :
- la raison 1ère de ne pas faire de chirurgie implantaire est une activité trop importante en omnipratique (51 %)
- 36 % des personnes pratiquant uniquement la prothèse implantaire sont intéressées par la chirurgie implantaire.
Si vous ne réalisez pas la chirurgie implantaire, sur quels critères, la déléguez-vous à un correspondant ?
La notoriété est le 1er critère de choix d’un correspondant en implantologie
Un commentaire
Mon cher confrère
Votre sondage auquel mille praticiens ont répondu m’a paru très intéressant, très instructif et très éclairant sur plusieurs aspects.
Mais deux éléments me paraissent manquer a son exhaustivité :
1. le premier est la tentative d’évaluation du nombre de participants actifs a l’acte implantaire, sur l’ensemble des praticiens du territoire. Cela eut permis une lisibilité de l’extension de la pratique a venir,. Une péréquation de votre diffusion et de vos résultats en aurait donné une idée; en effet, ceux qui vous ont répondu sont déja essentiellement pratiquants.
2. Le second, est l’interprétation de votre quasi conclusion, selon laquelle on note “une survie a 5 ans à 90% , dans près 80% des cas”. Je sais que les évaluations , selon les auteurs internationaux, sont dans la fourchette “85/90” et parfois au delà ; tandis que, en termes purement mathématique, vous en annoncez que… 72 % (0,9×0,8 très exactement).
Seriez-vous assez curieusement pessimiste ? Avec l’explosion de “neo-implantologistes” je ne serais pas vraiment surpris de ces pourcentages.
Je me permets en conclusion de vous féliciter pour votre revue qui, bien que gratuite, ne semble pas ployer sous la masse des publicités et conserve une lisibilité assez remarquable de son contenu informatif.
Bien a vous
Dr Alain Chanderot