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Bien-être et productivité

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Quand on entreprend une formation à l’hypnose, il est certain qu’a priori, on vienne chercher du bien-être. Ce bien-être est bien entendu pour les patients mais aussi pour les praticiens et au-delà pour l’équipe soignante qui ne se doutent pas qu’ils vont aussi trouver des sources d’amélioration de leur efficacité.

Bien-être trouvé dans le plaisir d’exercer et grâce aux patients qui ont des retours beaucoup plus positifs.

Le stress est une composante essentielle de la vie des professionnels de santé. Au premier rang : notre profession !

Le taux de suicide record, la pénibilité du métier de chirurgien-dentiste est une évidence que nous vivons au quotidien.

Enormément de consœurs et confrères expriment très tôt dans leur vie professionnelle un ras le bol. Bon nombre des plus anciens aspirent à la cessation d’activité.

Les entreprises qui investissent le plus dans la santé de leurs employés ont vu une réduction des pertes liées à la productivité (réduction de 16 % pour les 25 % qui investissent le plus). La Silicon Valley s’est emparée du sujet et fait aujourd’hui figure de pionnier en la matière. Tout est bon pour retenir, motiver les salariés et limiter le ‘burn out’ du mieux possible.

Faire une démarche de qualité de vie au travail est essentiel. On ne peut s’en exonérer.

Le mal-être entraine le manque d’envie, de motivation, la difficulté de se mettre en mouvement.

quand on est dans un état de bien-être les difficultés semblent s’aplanir, les portes s’ouvrir plus facilement. En revanche, quand le stress domine tout semble plus difficile.

Le choix entre le cheval de trait tirant une charrue chargée, bien lourde harassé à labourer une terre collante et le cheval libre est évident. Le premier a pour horizon l’Himalaya à franchir chaque jour avec lassitude. Le cheval libre se répand dans les grandes plaines verdoyantes et fertiles.

Ce confrère véritablement au bout du rouleau s’est retrouvé au bout de la formation avec la surprise d’avoir une augmentation de son activité avec un plaisir retrouvé.

D’une part, grâce au gain de temps que procure l’utilisation de l’hypnose au quotidien.

Et d’autre part, avec l’envie qui est amenée par la sérénité.

Nous vivons dans nos cabinets avec un « chronomètre implanté », avec la pression de la salle d’attente et de l’agenda.

L’hypnose nous permet de gagner du temps à tous les stades augmentant de fait les niches de sérénité :

n avant : pour comprendre les patients rapidement, connaître leurs attentes et être mieux compris d’eux.

Témoignage d’un confrère parmi tant formé en hypnose :

« C’est peu que de dire que cette formation d’hypnose a changé ma vie professionnelle et ma vie tout court.

Carrière débutée en 1987 plein d’entrain, j’ai vu nos conditions d’exercice se dégrader petit à petit jusqu’à arriver il y a 3 ans, d’envisager de prendre une retraite très anticipée, découragé, complètement dépité !

Cette formation, pleine d’empathie et d’humanité, à l’inverse de nombreuses formations techniques que j’avais effectuées tout au long de ma carrière, m’a redonné le nouvel élan que je n’espérais plus.

Force est de constater que cette nouvelle approche du patient rebat toutes les cartes que l’on pense avoir en mains, basées sur l’acquisition d’un arsenal technique, méthodiquement enseigné en fac ou post-fac. Mais où l’essentiel, l’humain, n’est quasiment jamais abordé.

Nous sommes tous d’excellents techniciens mais de piètres thérapeutes au sens global du terme. Toute l’équipe d’Hypnoteeth m’a permis de franchir un pallier dans l’approche globale de mes patients, de ne plus «endosser leur sac à dos » et de retrouver un réel plaisir à les « soigner ».

L’acquisition de cet enseignement a provoqué une rupture complète dans ma pratique quotidienne.

Le seul regret que j’ai, est de ne pas avoir eu accès à ces connaissances auparavant.

Oui, il est possible d’être un thérapeute complet et ravi d’exercer ce métier ! »

Gilles T.

  • pendant : pour aplanir les réticences voire les phobies aux soins et donc de les réaliser plus vite.
    De surcroît, gestion rapide des nausées, du saignement, de la salivation, des douleurs aigües…
  • après : avec l’amélioration des suites opératoires donc moins de retour.

En effet, c’est très souvent avec les patients stressés que les suites opératoires sont compliquées, c’est avec les paisibles qu’elles sont les meilleures.

Le bien-être amené par l’hypnose pour le patient, le praticien et l’équipe est un cercle vertueux. Les neurones miroirs des uns et des autres entrent en résonnance. Un praticien et son équipe calmes et détendus vont inspirer de la confiance et du calme.

En revanche, un praticien et une équipe stressés vont le transmettre au patient.

De la même façon, lorsque c’est le patient qui arrive anxieux, stressé, il le communique au praticien et à son équipe avec toutes ses conséquences.

Grâce à l’hypnose, on améliore de façon considérable le calme et le bien-être des patients. En travaillant ainsi plus sereinement, notre travail en devient plus efficace. Il est très difficile en effet d’être en même temps serein dans notre geste technique et de devoir subir ou gérer le stress et ses manifestations du patient.

Notre environnement avec ces assauts de stress communiqués par nos patients érode peu à peu notre envie et notre efficacité.

L’hypnose permet de retrouver du plaisir au travail. Ce plaisir se répercute dans l’ensemble du cabinet et donne envie. Envie aussi de proposer des plans de traitements mêmes aux patients qui nous paraissaient difficiles ou désagréables, ceux dont le simple nom fait « saillie » dans l’agenda et rend la journée détestable.

Un choix est essentiel entre faire un travail pour se payer des plaisirs quelles qu’en soient les conditions ou faire de son travail déjà un vrai plaisir. Amenant ainsi bien-être et efficacité.

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A propos de l'auteur

Dr. Claude PARODI

Chirurgien-dentiste
Conférencier international

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