CONTROVERSES CLINIQUES – “Près de 11500 ouvertures” !… Le premier numéro en ligne de cette nouvelle rubrique – diffusé à…
Billets d’humeur
Depuis le 24 Mai 1985 la jurisprudence reconnait l’implantologie en tant que technique suffisamment éprouvée, l’intégrant définitivement dans la communauté…
Dentiste le jour, humoriste la nuit. Olivier Guedj se produit chaque mardi sur les planches du théâtre parisien les feux…
Les Britanniques ont, le 23 juin dernier, voté en majorité (51,9 %) pour le Brexit, la sortie du Royaume-Uni de…
La multitude d’articles parus récemment dans la presse professionnelle sur le sujet m’a donné envie de (re)prendre la plume pour…
Un chirurgien dentiste sourd profond (et du même coup presque muet) me demandait un jour s’il pouvait se mettre au premier rang. Bien « entendu », lui répondis-je sans coup férir !
Quelle n’a pas été ma stupéfaction de constater que, de tout l’auditoire, celui qui écoutait avec le plus d’attention était justement le plus sourd d’entre eux !
Les mots sont des véhicules : ils transportent les messages échangés avec nos frères humains, vivants ou morts. Ils peuvent, par leur force, provoquer chez l’interlocuteur, des sentiments et des émotions générateurs de réactions dont la nature varie selon que les mots employés sont perçus comme agréables ou désagréables.
Le tabac et l’alcool sont deux des principaux produits qui peuvent entraîner une dépendance à laquelle nous avons à faire face en pratique quotidienne. S’agissant de l’alcool, le produit d’intoxication passe nécessairement au travers de la bouche avant d’être avalé. La personne dépendante nonabstinente (il en existe plusieurs millions dans notre pays) éprouve un très puissant sentiment de honte avant de « boire », pendant qu’elle boit et après avoir bu. Ce sentiment fait que le malade et le produit sont souvent plus ou moins bien évidemment cachés.
Est-il possible aujourd’hui de faire fi de la formation professionnelle et rester néanmoins performant ? Non ! Mais encore faut-il s’interroger sur la différence entre « Formation » et « Information ». Pour qu’elle soit efficace, la formation a besoin d’être « continue ». L’information, quant à elle, ne peut être que « discontinue ». Elle renseigne, mais elle ne forme pas.